C’est le 22 mars 2016 que deux attentats sanglants plongent le pays dans l’horreur. Daesh frappe de Bruxelles à Zaventem ainsi que dans le métro bruxellois faisant 33 malheureuses victimes.
Cette boucherie vient peu après celle de Paris avec notamment l’attentat devenu tristement célèbre, celui du 13 novembre 2015 au Bataclan faisant 130 morts et 350 blessés.
Que cela soit à Bruxelles ou à Paris, ces attentats sont perpétrés par des djihadistes ayant acquis la nationalité belge ou française et ayant habités ou fréquentés Molenbeek.
Molenbeek, la capitale du terrorisme djihadiste est le reflet de la politique migratoire de notre gouvernement. On accueille des populations qui souhaitent s’établirent en Europe afin de profiter de nos avantages sociaux tout en gardant leurs rites et coutumes. Ainsi, depuis bien des années, on ne parle plus d’intégration, mais bien de multiculturalisme. Si bien que désormais, c’est aux belges de s’adapter au port du voile, à la nourriture halal et aux fêtes islamiques. Certains sujets sont devenus tabous, comme le niqab dans les écoles, la pratique de l’excision ou encore les mariages arrangés. Ainsi, au nom du multiculturalisme et de l’antiracisme primaire, nous renions nos propres valeurs et coutumes pour celles venus d’ailleurs. Pas étonnant dès lors de voir l’écho de prêches radicaux dans certaines mosquées de nos quartiers, puisqu’en Belgique, tout est permis !
C’est donc le matin du 22 mars 2016 que le multiculturalisme va s’exprimer avec à la clé un pays en état de guerre. Mais de guerre il n’y en aura pas puisque le monde politique se couchera devant les grands principes « immigrationnistes » et les bienfaits d’une société métissée. Pire, on va défendre le principe d’un islam « modéré » lui laissant carte blanche dans l’exercice de ses pratiques.
Le 22 mars 2016, avec la bénédiction de nos politiciens, c’est l’islam de Belgique qui a gagné.
