Cette année encore, le carnaval d’Alost fait l’objet de toutes les attentions. Non pas par la qualité de ses chars mais parce que tout simplement, la police de la pensée unique fait son marché.
L’UNIA en tête, il s’agit de vérifier si l’humour est pour cette élite bien-pensante, acceptable ou pas. Bref, une véritable chasse aux sorcières qui a le mérite de braquer les projecteurs sur un carnaval désormais mondialement connu.
Bien entendu, après son retrait de la liste du patrimoine de l’humanité par la « Sorosphère onusienne », voici que l’Amérique condamne le carnaval !
Cependant et non sans humour, nous pensons que cette condamnation est la réponse du berger à la bergère quand les autorités et médias belges fustigent sans cesse et sans objectivité la politique de Donald Trump.
C’est un peu comme quand ces mêmes personnes se permettent de donner des leçons de démocratie à Vladimir Poutine et que ce dernier rétorque et ironise sur l’absence de gouvernement au fédéral.
Ce qui est inquiétant, c’est qu’à cause de ces gardes chiourmes, il devient extrêmement difficile pour les humoristes de pratiquer librement leur art.
Ainsi, si le carnaval d’Alost a pour tradition de singer l’actualité politique, il se pourrait que désormais sous la pression des inconditionnels de la vaseline multiculturaliste, le bourgmestre d’Alost doit imposer le répertoire déjà tellement usé et épuré des humoristes à cinq sous, à savoir l’humour de comptoir…
Décidemment, après nos fêtes religieuses, voilà que l’on tente d’enterrer l’humour belge !
Et bien pour nous, cette démocratie-là mérite un char à l’effigie de Kim Jong-Hyun. Mais ça, ce n’est pas par humour…
