
L’immigration de masse de ces dernières années a considérablement changé le visage de notre société. Avec un nombre toujours plus croissant d’immigrés extra-européens, on assiste à la transformation de nombreux quartiers, mais aussi des valeurs et libertés pourtant si chères dans une société dite démocratique.
Prenons en exemple l’islamisation croissante et rapide sur le continent européen qui pèse de plus en plus lourd sur nos traditions. En effet, avec la complicité de nos politiques, on supprime toutes références religieuses pour certains congés scolaires, on menace d’extinction Saint-Nicolas… Il est un fait évident, l’Européen doit désormais s’adapter aux populations allochtones. Ce qui nous fait constater que l’intégration est morte pour laisser place au communautarisme.
Ainsi, le voile devient revendicatif, la mosquée un lieu de ralliement et le halal un moyen de s’immiscer dans chaque foyer, dans chaque communauté ou établissement public. Cet islam devient conquérant, colonisateur et donc politique. On le voit aussi, cette communautarisation atteint son paroxysme dans certains quartiers quand ces derniers deviennent, au nez et à la barbe d’autorités peu regardantes, le cheval de Troie de l’État islamique. C’est encore le cas quand les libertés et les droits des femmes sont menacés, ou quand des commerçants jettent l’éponge car cette immigration est désormais devenue majoritaire et qu’elle privilégie ses propres commerces.
Parce que souvent peu qualifiée, cette immigration augmente de manière exponentielle la pression sur notre système de protection sociale. De plus, afin de favoriser son établissement, nos politiciens ont décidé d’appliquer eux-mêmes la discrimination. Certes, si cette dernière est appelée positive, il n’en reste pas moins qu’elle est discriminatoire envers les citoyens de souche, notamment en terme d’accès aux logements sociaux.
Mais pourquoi donc, les politiques favorisent-ils tant l’immigration de masse ?
Et bien, parce que l’immigration de masse est l’outil principal de la mondialisation. Elle vise à détériorer nos identités et à pouvoir dès lors vendre les mêmes services et produits aux quatre coins de la planète. En effet, en supprimant les identités, on formate les besoins, les goûts et les couleurs. Il devient dès lors très pratique pour une multinationale de promouvoir et de globaliser le marché au niveau planétaire. Avec cette vison mondialiste, que vous vous rendiez à Hong-Kong, New-York, Moscou ou Bruxelles, vous mangerez le même type de hamburgers, porterez les mêmes vêtements ou équiperez votre appartement avec les mêmes meubles en kit. Et afin de s’assurer que la globalisation s’installe dans vos têtes, les mêmes programmes télévisés diffusent la grand-messe multiculturaliste à tout va. Émissions, reportages, musiques, films et séries black-blanc-beur vous vantent la grande richesse du multiculturalisme. A tel point qu’au lendemain des attentats de Bruxelles, on n’a vu que les dessins à la craie sur le parvis de la Bourse de Bruxelles pour toute manifestation d’indignation. Une mise en scène largement relayée et orchestrée. On se serait cru dans le Nouveau Testament : si l’on vous frappe sur la joue droite, tendez la joue gauche…
L’immigration de masse, c’est aussi l’argument idéal pour les mondialistes afin de faire passer l’idée que les frontières sont inutiles et qu’il faut les supprimer. En effet, à quoi bon désormais les maintenir quand ces dernières sont de toute façon franchies par les migrations incessantes de ces dernières années ? C’est évidemment l’apanage repris en cœur par une gauche béotienne qui n’a toujours pas compris que sans frontières, c’est aussi un bon moyen d’en terminer avec les barrières douanières.
Alors, vouloir remettre en question la politique migratoire de ces dernières années est-elle, comme on le prête trop souvent dans les médias subventionnés par le pouvoir technocratique, la voie du racisme ou de la xénophobie ?
Certainement pas ! Combattre la mondialisation et son lot d’injustices relève de s’attaquer à ses leviers. L’immigration de masse, comme d’autres, en est un. Dès lors, ce n’est pas une question d’origine ou de couleur de peau, mais bien de valeurs et de justice sociale et économique. Car en effet, si la gauche aime se plaindre de l’injustice sociale, il faut également relever sa grande sœur, l’injustice économique, qui vide les pays d’Afrique, d’Amérique latine ou d’Asie des richesses de leur sous-sol, sans pour autant contribuer au développement d’infrastructures pour le bien-être de ces populations. De ce fait, combattre l’immigration de masse n’implique certainement en rien que vous êtes insensibles à la détresse humaine mais que, au contraire, il convient de la limiter, de la réguler, afin de garantir un équilibre et ainsi freiner la mondialisation qui est, quant à elle, aux antipodes des droits humains.
Vous l’avez compris, un monde plus juste, avec des peuples libres de rester eux-mêmes avec leurs valeurs et leur identité, une mondialisation mise en échec et des équilibres économiques et sociaux construits et garantis, apporteront un avenir de paix aux générations futures. Et ce, pour tous les peuples de notre planète.
C’est pourquoi, le PARTI NATIONAL EUROPÉEN est pour une politique migratoire stricte et maîtrisée, tout en garantissant les droits de chacun, ainsi que l’harmonie culturelle, intellectuelle, économique et sociale de l’ensemble de la population vivant sur le territoire belge. Mais aussi dans le cadre d’un combat contre la mondialisation et l’émancipation sociale, économique et culturelle de tous les peuples de la planète.
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