Parti National Européen (PNE)

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mardi, 21 janvier 2020 / Published in Non classé

Une dictature sous les habits d’une démocratie !

Telle est l’inquiétante réalité de la Belgique francophone. De plus en plus, la liberté d’expression et la démocratie, la vraie, sont menacées pour n’être plus qu’en fin de compte un leurre. Bien entendu, pour toute personne qui marche sur les pas du système, il est difficile de se rendre compte de la supercherie mise en place par la gauche et la droite complaisante. Mais sortez un peu des sentiers battus et vous allez vite apercevoir les dessous d’un système de plus en plus contraignant.

La mesure la plus connue est sans nul doute, le « Cordon sanitaire ». Tous en cœur, ils rappellent la nécessité de maintenir un tel dispositif et ce, c’est un comble, au nom de la démocratie. Comme si défendre la démocratie revient à museler une partie de ses concitoyens.

Pour rappel, le « cordon sanitaire » interdit toute alliance avec des formations « d’extrême-droite » mais aussi le passage en direct d’interview ou de débats dans les médias. Ainsi, de façon discrétionnaire et même autoritaire, tout organe de presse peut de manière délibéré qualifier telle ou telle autre formation politique d’extrême-droite et donc de lui refuser l’accès aux débats télévisés et ce, sans qu’aucune voie de recours impartiale ne puisse être envisagé. Le pire, c’est que les médias francophones ne s’arrêtent pas là, puisque non seulement ils nient systématiquement ces formations mais ils qualifient tout discours refusant la politique migratoire actuelle, d’extrême droite. Ainsi, être patriote signifie automatiquement l’isolement politique et médiatique.

Aujourd’hui, dans les formations politiques traditionnelles, personne ne s’émeut de cette situation. Beaucoup se revendiquent d’y être solidaire. Mais qu’adviendrait-il si demain, le système faisait de même avec les Végans ou certaines formations d’extrême-gauche ? Au CRISP, on n’hésite pas à se positionner en citant Vaïa Demertzis*, cette dame, licenciée en science politique à l’ULB, explique tout d’abord que le « Cordon sanitaire » est une disposition unique en Europe et particulièrement suivie dans la partie francophone du pays. Elle précise que cela s’adresse aux formations liberticides et donc l’extrême-droite. A la question de savoir pourquoi les partis d’extrême-gauche ne sont pas frappés par cette disposition, elle répond que la pensée d’extrême-gauche est établie sur un principe : tendre vers plus d’égalité. A l’inverse de l’extrême-droite, la société est foncièrement inégalitaire et les individus, sur un même territoire, ne peuvent donc pas se prévaloir des mêmes droits.

Cela pose de grandes questions sur le plan démocratique. Premièrement, qu’est-ce qu’une formation d’extrême-droite ? Deuxièmement, les médias, comme le CSA (Conseil Supérieur de l’Audiovisuel) qui veille à l’application stricte de ce « Cordon sanitaire », désignent de manière purement arbitraire et discrétionnaire si une formation est frappée par cette mesure ou pas. Pour Vaïa Demertzis, être d’extrême-droite signifierait prôner l’inégalité des individus sur un même territoire.

Dès lors, il faudrait, pour supprimer ces inégalités, donner des papiers à chaque réfugié, défendre le plein emploi, et supprimer les rangs entre les enfants vivant sous le même toitbénéficiant d’allocations familiales. Mais aussi, la Justice et l’accès aux soins de santé devraient être gratuits. Ainsi, toujours d’après Vaïa Demertzis, il faut tendre vers cette égalité. Mais alors c’est faire fi de la Lutte des classes tant réclamée – même de manière nostalgique – par cette extrême-gauche. Finalement la lutte des classes n’est-elle pas du racisme social ? Car pour qu’il y ait lutte, il faut qu’il y ait conflit, et donc opposition et donc inégalité. Bref, de par cette interview et de manière bien maladroite cette politologue, et enfant du système, fait l’apologie du moins ici sur un plan médiatique et politique, d’une sentence pourtant abrogée depuis bien longtemps en Belgique, comme contraire à la Convention européenne des droits de l’homme, à savoir la condamnation à la Mort civile.

Cette réalité relève d’un totalitarisme manifeste car relayé ensuite par toutes sortes d’associations d’extrême-gauche, et syndicats en tête, dont leurs rôles n’est que celui de garde chiourme du système. Justement, ces syndicats qui, perdant le monde ouvrier, se cherchent un nouveau souffle en s’immisçant sur le terrain politique et imposant leurs vues sur les débats de société. Ainsi, le monde de gauche ne cessent d’enfanter des associations vindicatives et sectaires afin de développer le terrorisme des croisés de l’hygiénisme mental qui consiste désormais à qualifier de « phobie » (homophobie, lesbophobie, handiphobie, islamophobie, judéophobie, mélanophobie, etc…) toute expression d’une opinion contraire à leurs prétentions ou revendications.

Mais le totalitarisme ne s’arrête pas là. Aujourd’hui, être patriote relève d’un acte de résistance. Quolibets, intimidations , interdictions de manifester, de se réunir, sont autant de témoignages qui jalonnent le quotidien d’un bon nombre de patriotes. Si les auto-proclamés antifascistes en sont pour la plupart les artisans les plus visibles, le système particratique dans son ensemble en est le commanditaire. Ainsi, le totalitarisme de la pensée unique, côtoie l’intolérance et le fascisme grandissant de la gauche. A tel point que même la droite traditionnelle n’ose plus aborder avec critique la politique migratoire. Elle s’est faite prendre à son propre jeu.

Oui, c’est plus que certain, et plus qu’ailleurs la Belgique francophone n’est plus démocratique ! Il n’est d’ailleurs pas rare que des étrangers en visite, fassent remarquer le peu de pluralité et d’objectivité de la presse francophone. Car cette dernière n’informe plus mais communique ! Elle est devenue un objet de propagande à la solde du système.

Dès lors, être patriote c’est être aussi, et avant tout, un militant en faveur de la liberté de pensée. Le danger pour la démocratie n’est pas celui que l’on prétend sur les ondes des radios nationales mais bien le système totalitaire en place. Le Parti National Européen est profondément attaché à la démocratie, la vraie ! C’est pourquoi, militer au PNE relève d’un acte de résistance. Exactement comme jadis, nos aïeux ont mené contre nos agresseurs. D’ailleurs, la plupart n’était pas ,comme bien souvent on le prétend, de gauche, mais tout simplement patriotes et attachés à leurs valeurs et leurs racines. Il n’y a pas l’ombre d’un doute qu’aujourd’hui, les corbeaux cités dans le champ des partisans, sont les nervis de la pensée unique imposée par la gauche.

* Vaïa Demertzis (interviewée Régulation), « Cordon sanitaire : un dispositif visant l’extrême-droite », les @nalyses du CRISP en ligne, le 6 février 2018, www.crisp.be.

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