Parti National Européen (PNE)

  • Actu
    • Actualités
    • Photos
    • Vidéos
    • Réaction
  • Agenda
  • Le projet
    • Statuts
    • Programme
  • Organisation
    • Direction
    • Pour Les Nôtres
  • Militer
    • Adhésion
    • Charte
    • Tracts/Affiches
    • Boutique
  • Contact
    • Coordonnées
    • Réseaux sociaux
  • Dons
mercredi, 21 octobre 2020 / Published in Non classé

VIOLENCE : Le point de non-retour

En France, samedi dernier, une quarantaine de personnes se sont attaquées au commissariat de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) avec des tirs de mortiers d’artifice. Plusieurs véhicules de police ont été dégradés ainsi que la porte vitrée du commissariat qui est situé au coeur d’une « cité », proche du bois de Vincennes. Huit mortiers ont été retrouvés non loin du commissariat. Les incidents ont débuté peu avant minuit et se sont achevés une heure plus tard. La police étant retranchée dans ses locaux, aucune interpellation n’a eu lieu. Dans un tweet, le préfet de police de Paris, Didier Lallement s’est contenté de poster un message mentionnant « son soutien aux policiers visés par ces actes intolérables ». Les représentants du personnel policier ont réagi et condamné ces évènements : « Il est grand temps que le gouvernement se saisisse des violences commises contre les forces de l’ordre (…). Plus personne ne respecte les forces de l’ordre et le gouvernement n’a pas réussi malheureusement à inverser cette tendance ». Et d’ajouter « Que faudra-t-il pour que le gouvernement s’engage à protéger ses forces de l’ordre ». Ce commissariat a déjà été plusieurs fois ciblé par ce type d’attaque, notamment en avril dernier pendant le confinement ou encore en 2018. Notez encore que cette attaque survient après celle de mercredi soir de deux policiers, en civils, blessés par balles à Herblay (Val-d’Oise) alors qu’ils étaient en mission.

Cela démontre à quel point notre société est malade et qu’il y a une crise profonde de valeur. En laissant l’impunité gagner du terrain, la racaille ne fait que se renforcer et monter en violence envers les honnêtes citoyens et les forces de l’ordre. « On ne craint plus les flics ! » et c’est bien cela le problème. D’autant qu’ici, peur de commettre une quelconque bavure, la police préfère ne pas réagir. Un comble dans un Etat de droit. Face à des tirs de mortier et un tel déferlement de violence, il aurait été indiqué que les policiers répondent par des tirs sur les assaillants.

Mais on ne le sait que trop bien, une racaille de perdue et dix de retrouvé. Sous-entendu, que si la police avait réagi et causé le décès d’un des terroristes (car il n’y a pas d’autre mot), c’est l’ensemble des banlieues françaises qui risquaient de s’embraser.

Le régime particratique en place a une nouvelle fois démontré son incapacité à répondre à de tels actes. En faisant preuve de faiblesse, il met en danger la population française et la police en particulier. Avec cet événement, c’est certain, la guerre civile n’est plus très loin et le point de non-retour est peut-être déjà bien là.

Pour le Parti National Européen, nous devons relégitimer la place des policiers dans notre société. A savoir que contre la racaille, nos policiers doivent recevoir carte blanche ! Mais ça, c’est loin d’être acquis…

Ensemble, changeons les choses, retrouvons la quiétude à laquelle nous avons droit, ne nous laissons pas gangréniser par le système laxiste qui régne aujourd’hui en Europe !

What you can read next

Quelle économie pour demain ?
BAKCHICH: LA GOUVERNANCE WALLONNE
Une crise de confiance aux abysses de la démocratie.

Notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter pour rester informé sur notre projet

Parti National Européen - Chaussée de Montigny 293, 6060 Gilly | Tous droits réservés
Politique des donnees personnelles

TOP